Les nombreuses vies du polar provençal

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 208 pages
Poids : 362 g
Dimensions : 17cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-915793-98-7
EAN : 9782915793987

Les nombreuses vies du polar provençal

de

chez Les Moutons électriques

Collection(s) : La bibliothèque rouge

Paru le | Broché 208 pages

Tout public

19.30 Indisponible

avec la collaboration de Alain Guillemin


Quatrième de couverture

Région célébrée pour son caractère, sa beauté et le langage si particulier de ses habitants, la Provence a également abrité quantité de mystères et d'énigmes.Ce voyage chronologique au coeur du crime provençal, jalonné par les existences de personnages d'exceptions - Martial Langlois, le commissaire Laviolette et toute sa dynastie, Séraphin Monge, Raoul Signoret, Dick Hérisson, Fabio Montale ou encore Léo Loden - prend la forme d'une exploration littéraire. Quelques auteurs de talent - Jean Giono et Pierre Magnan pour les plus emblématiques - ont en effet contribué à faire de ces hommes des légendes, par le biais de la fiction. C'est qu'en Provence plus qu'ailleurs, la frontière ténue qui sépare le mystère de la vérité laisse apercevoir les plus sordides, intrigantes et passionnantes histoires.

Au menu de ce beau livre de référence, une chronique biographique des grands enquêteurs provençaux depuis le XIXe siècle jusqu'à nos jours, comme s'ils avaient existé, pour une étude qui s'inscrit dans l'évolution sociale, culturelle et géographique de la région, avec une riche iconographie en dessins et photos des lieux-clef du polar provençal ; plus une chronologie détaillée, ainsi qu'une étude sur le sous-genre du polar marseillais, par Alain Guillemin.

Maniaque et d'un caractère difficile, Laviolette est un contemplatif, un rêveur, un descendant de Jean-Jacques Rousseau. Comme policier, il a de curieuses méthodes : s'il est habile à recueillir des indices, il se fie surtout à l'appréciation des atmosphères et à l'osmose des intelligences.
Henri-Yvon Mermet

C'étaient les voix des lacs et des montagnes et le souffle des ventes et le juste mouvement de la vie irrésistible des personnages dressés devant le destin, puis abattus, puis ressuscités, tordus, généreux ou retors [...], c'étaient les dévastatrices stridences des trompettes de la mort qui retentissaient en lui, en un mot ce que j'aimais en Giono, c'était ce tabernacle qui contenait la création.
Pierre Magnan
sur Giono