Quatrième de
couverture
Sa connaissance intime de la langue syriaque a permis à Ephrem Azar, dominicain irakien, de percevoir derrière les mots les images qu'ils traduisent. La forme du texte ainsi que la jubilation dont il semble l'expression conduisent ainsi l'auteur à se demander si ces hymnes n'étaient pas nés et conservés dans un milieu monastique.