Collection(s) : Club finance HEC
Paru le 01/10/2014 | Broché 116 pages
Public motivé
Le DCF est habituellement considéré comme la méthode reine dans les banques d'affaires et d'investissement. Toutefois, malgré des qualités indéniables, il a montré ses limites. Comment par exemple prendre en compte la probabilité de défaut des entreprises fortement endettées ou aux cash-flows hautement volatiles ? C'est dans ce genre de situation que l'on perçoit l'utilité des méthodes de valorisation optionnelles. Celles-ci donnent en effet un cadre analytique à la modélisation de tels aléas.
Dans ce livre, l'auteur illustre ce cadre par des exemples proches de ceux auxquels sont confrontés les directeurs financiers, les analystes actions ou les banquiers d'affaires. De plus, il présente les résultats d'une étude empirique sur l'ensemble du CAC 40 afin de mettre en évidence les différences entre les méthodes de valorisation traditionnelle et optionnelle.
Club finance HEC Paris
Crée en janvier 1981, le Club finance HEC Paris réunit plus de deux cents professionnels de la finance appartenant aux différents secteurs de l'industrie et des services. Faisant partie du Groupe HEC, le Club est un lieu de rencontre privilégié entre les différents métiers de la finance.
Le Club remet chaque année un Prix au meilleur mémoire dans le domaine économique et financier, présenté par un élève d'HEC en fin de scolarité.
Paul Badaro est diplômé de la Majeure Finance d'HEC (2013), titulaire d'une licence de Mathématiques Appliquées de Paris I (2010) et d'un diplôme supérieur de la London School of Economics (2012). Il a été sensibilisé aux problématiques d'évaluation, notamment chez Deloitte Finance et KPMG Corporate Finance à Paris et chez Exane BNP à Londres, dans le département Equity Research. Il exerce actuellement en tant qu'analyste financier au sein de la banque Aforge Degroof.