Les premières lois financières de la présidence Macron : actes du colloque inaugural du réseau Allix, 5 et 6 avril 2018

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 419 pages
Poids : 700 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-919211-94-4
EAN : 9782919211944

Les premières lois financières de la présidence Macron

actes du colloque inaugural du réseau Allix, 5 et 6 avril 2018

chez IRJS Editions

Collection(s) : Bibliothèque de l'Institut de recherche juridique de la Sorbonne-André Tunc

Paru le | Broché 419 pages

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Quatrième de couverture

Les premières lois financières de la présidence Macron

Actes du colloque inaugural du réseau Allix

Les 5 et 6 avril 2018, le réseau Allix a organisé un colloque portant sur Les premières lois financières de la présidence Macron, à lAssemblée nationale et a l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, sous la direction des Professeurs Ludovic Ayrault, Julie Benetti, et Matthieu Conan. Ces deux journées ont été ouvertes par François de Rugy, Ministre de la Transition écologique et solidaire, à l'époque Président de l'Assemblée nationale, et Gérald Darmanin, Ministre de l'Action et des Comptes publics.

L'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République aurait ouvert de l'avis de nombreux observateurs une nouvelle ère politique marquée par un renouvellement sans précédent du personnel parlementaire et l'effondrement du clivage traditionnel entre la droite et la gauche. Les premières lois financières de ce début de quinquennat (loi de finances pour 2018, loi de financement de la sécurité sociale pour 2018, loi de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022) portent-elles la marque de ce changement ? Le renouvellement des acteurs a-t-il induit une évolution des pratiques et des habitus, des moyens parlementaires ou des procédures budgétaires ? La ligne politique de la nouvelle majorité a-t-elle encouragé la définition de nouvelles politiques publiques en matière financière et fiscale ? Dans un contexte budgétaire hautement contraint, de quelle latitude dispose encore le pouvoir politique dans le pilotage et la gestion des finances publiques ?