Les rapins : l'âge d'or de Montmartre. Of paupers and painters : studies of Montmartre masters

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 237 pages
Poids : 1332 g
Dimensions : 25cm X 33cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-9527705-7-6
EAN : 9782952770576

Les rapins

l'âge d'or de Montmartre

de ,

chez les Ed. de la Belle Gabrielle

Paru le | Broché 237 pages

Tout public

35.00 Indisponible

traduit du français par Jack Russel | photographies Stéphane Pons


Quatrième de couverture

Les rapins

L'âge d'or de Montmartre

Un rapin, c'est l'équivalent d'un carabin en médecine, un futur (grand) peintre. Donc un jeune homme qui désole sa famille, qui porte l'uniforme du rapin, le béret galette appelé faluche, la cape à l'espagnole, la moustache conquérante, la bourse plate, le verbe haut et le verre toujours à moitié vide. Bref il pullule dans les ateliers qui vont se multiplier sur la Butte. Ils ne rêvent plus de prix de Rome, mais de conquérir le monde.

Du rire et des larmes. Et du génie que tous les musées de la planète se sont arraché, une histoire des peintres, pas un topo étouffant sur la peinture.

Pour découvrir le mystère des ateliers de la Butte, il faut suivre le sillage parfumé de la belle Léa, modèle préféré de ces génies.

Léa et Léa sont deux soeurs jumelles. Elles n'ont qu'un prénom pour deux. On ne voit la différence que quand elles sont nues, ce qui est normal et fréquent puisqu'elles posent pour les peintres.


Of paupers and painters

Studios of Montmartre masters

Montmartre's golden years saw the birth of modern art when a cluster of future great masters gathered in search of affordable working conditions in which to exercise their talents. They were all here, working in these studios, scrounging a meager living, sometimes selling their last masterpiece for a meal.

The models, like sisters Léa-Léa, were also here, one exposing the top half of her anatomy the other the lower half, flitting from one studio to the other.

The painters, dreaming of fame rarely achieved in their lifetime, now hanging in the great museums of the world and in private collections.

The models, superb in their nakedness, wondering who they could persuade to buy them dinner, now on the walls of the same museums, or looking down at a bunch of rich snobs hogging it at the host's dinner table.

This is where they worked, often lived and loved.

The scene of their everyday lives.