Les sabots de bois vert : hommage au poète Guillevic

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 103 pages
Poids : 200 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35328-057-5
EAN : 9782353280575

Les sabots de bois vert

hommage au poète Guillevic

de

chez Editinter

Paru le | Broché 103 pages

16.30 Indisponible

dessins de Wilfrid Ménard


Quatrième de couverture

Ces textes sont nés après 1997, date où s'est éteint le « bretonnant poète ».

Ainsi souhaitait-il qu'on le nomme plutôt que « poète breton », appellation, affirmait-il, qui vient de « quelque part » alors que lui se sentait de « nulle part et partout ». Blotti à jamais dans la tendresse des éléments, des êtres vivants et des choses.

Ces textes n'ont pas pour but d'imiter la forme guillevicienne mais de rendre un hommage sincère au Poète qui nous a permis par ses encouragements de persévérer dans l'offrande contenue et continue de cet émerveillement renouvelé, propre à l'écriture poétique.

Biographie

Jeannine Dion-Guérin est l'auteur de quinze recueils publiés en France et en Belgique.
Dès 1990, sous le haut patronage de Léopold Sédar Senghor, elle est l'initiatrice et la réalisatrice littéraire du concours poétique international et de l'anthologie d'art « Vincent, de la toile au poème » à l'occasion du Centenaire du peintre Vincent Van Gogh.
Pendant plus de 15 ans, elle contribue au dialogue des arts et des lettres en réalisant et animant l'émission « En vers et avec tous » sur Radio IDFM98 Enghien, par son travail scénique (théâtre, cabarets poétiques, animations...), par ses conférences, présentations d'artistes, vidéos...
En 2006, elle représente la France à Bruxelles pour la commémoration du centenaire de L. S. Senghor, journée organisée par l'Union Européenne.
En 2010, le Prix de Poésie Léopold Sédar Senghor lui est attribué par le Cénacle européen francophone des Arts et des Lettres.
Extrait d'une lettre de Monsieur Henri Senghor, ambassadeur honoraire, neveu et filleul du Président-Poète à la lauréate :
« ... J'ai eu l'occasion de vous remettre le Prix Senghor de Poésie, vous le méritez et mon oncle aurait été fier de vous le remettre personnellement du fait de votre parenté spirituelle avec le chantre de la Négritude qu'il fut et dont vous avez su appréhender toute la chaleur de « son » âme apaisée, dans le tumulte et le choc de nos deux cultures pourtant complémentaires... »