Les séductions espagnoles : théâtre. Vol. 5. La casa de Bernarda Alba

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 119 pages
Poids : 122 g
Dimensions : 12cm X 18cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35516-054-7
EAN : 9782355160547

La casa de Bernarda Alba

de

chez Ed. de l'Amandier

Serie : Les séductions espagnoles. Vol 5

Collection(s) : Théâtre

Paru le | Broché 119 pages

12.00 Indisponible

d'après Federico Garcia Lorca


Quatrième de couverture

Les abus de pouvoir du silence tombent comme une chape de plomb sur cinq jeunes filles en mal d'amour après la mort du père et le deuil excessif imposé par la mère. La langue claire et nette traduite ici avec vigueur, humour et «duende» transpire de métaphores directement lisibles : la montée des extrémismes, la destinée des femmes dans les pays du sud... Une incroyable prémonition de Lorca qui, achevant cette dernière pièce, tombera sous les balles de Franco...

«Passionnée, Louise Doutreligne est allée chercher en Andalousie les interjections d'un texte traduit et adapté en travaillant la musicalité des phrases de Lorca...» Valérie Simonet (Libération, 1998)

La casa de Bernarda Alba est la cinquième pièce des «Séductions espagnoles» précédée de Teresada', Don Juan d'origine, Carmen la nouvelle, Faust espagnol, suivie deLa novice et le jésuiteetDans la peau de Franco.Sept pièces pour ce parcours de séduction où l'obscur objet du désir travaille les mythes européens d'origine ibérique et la mémoire historique, comme un désir de dévoiler l'obscur de l'oubli...

Dans un ballet de mots et d'accents*, dans un joli régal* qui fouette le sens et les sens*, sept «comedia» conçues d'une plume acérée*, humour et sensualité en prime*, pour les gourmands de textes et les friands de théâtre* et qui ne demandent qu'à retrouver sous toutes les formes le chemin des plateaux et du succès public...

* propos repris des critiques de E. Bouchez (Télérama), S. Dupuis (L'Express), G. Costaz (Politis), J.-P. Leonardini (L'Humanité), Delfeil de Ton (Le Nouvel Observateur).

Du même auteur : Louise Doutreligne