Rayon Histoire locale et régionale
Les sobriquets des habitants du Pas-de-Calais illustrés : anthologie des sobriquets en patois, origine du nom de la ville, étymologie de la Révolution au ch'ti flamand, surnoms des habitants, armoiries, dictons

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 447 pages
Poids : 815 g
Dimensions : 17cm X 23cm
EAN : 9782915800050

Les sobriquets des habitants du Pas-de-Calais illustrés

anthologie des sobriquets en patois, origine du nom de la ville, étymologie de la Révolution au ch'ti flamand, surnoms des habitants, armoiries, dictons


Paru le
Broché 447 pages
illustrations Mègs
Tout public

Quatrième de couverture

«Mingeux d'Maguettes ...ils sacrifiaient une chèvre qui était tuée le samedi... Le brasseur était invité à donner quelques pots de bière et c'était le banquet auquel les père et mère du ménage étaient obligatoirement invités, mais qui comprenait parfois 40 personnes et durait jusque 2 H du matin...

Fiers Culs... Qu'vos Blancs

L'aisance d'une ferme se jugeait à la taille du tas de fumier, plus il était important, plus il y avait de bêtes et plus le propriétaire était riche.»

Au fur et à mesure de ses recherches en archives, de conversations, surtout avec des personnes âgées, ou de conférences dans le Haut Pays, André Accart se mit à collecter les sobriquets collectifs qui s'attachent à la plupart de nos villages.

Quel savoureux mélange d'invectives et de qualificatifs agréables mais aussi parfois grossiers, a-t-il découvert. Etalée sur plusieurs années, cette quête se complète en essayant de retrouver la raison et les légendes qui s'attachent à tous ces sobriquets.

Il a aussi recherché tout ce qui se rapporte au nom du village. Que ce soit sa dénomination patoise ou flamande, les devises et dictons qui viennent l'illustrer, jusqu'aux armoiries que se donnent les communes ou les propositions fournies par les Archives du Pas de Calais.

Biographie

André Accart, est né le 8 janvier 1947 à Wailly les Arras. Sa vie professionnelle le fit rejoindre la Verrerie Cristallerie Durand à Arques et il s'installa à Nielles, hameau de Thérouanne. Malheureusement, sa santé défaillante le conduisit à l'invalidité. Son meilleur médicament fut de se replonger dans sa langue maternelle qu'est le Patois Artésien. Bientôt, il rejoignit le Comité d'Histoire à Fauquembergues où il s'attacha à l'ethnologie avec l'étude des coutumes et traditions de notre région.

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