Les traditions celtiques : au pied des menhirs

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 222 pages
Poids : 356 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7033-0909-3
EAN : 9782703309093

Les traditions celtiques

au pied des menhirs

de

chez Dangles

Collection(s) : Horizons ésotériques

Paru le | Broché 222 pages

Tout public

19.00 Indisponible

un ouvrage paru sous la direction de Jean-Pierre Bayard


Quatrième de couverture

Les Traditions celtiques

Au pied des menhirs

Cet ouvrage se présente avec le simple désir de résumer et rassembler des données éparses et peu accessibles au grand public quant à la Tradition Celtique, considérée tant sous l'angle de la religion que des enseignements ésotériques en découlant. Il est en effet particulièrement important, en notre époque de profonde mutation spirituelle, de montrer que l'Occident possède, lui aussi, une de ces religions purement métaphysiques qu'on supposait - jusqu'à présent du moins - l'exclusif privilège de l'Orient.

L'ouvrage aborde d'abord la théodicée des Druides et étudie leurs conceptions religieuses. Tour à tour, les trois « Personnes » de la Triade Divine : Oiw (le Père), Hu Kadarn (le Fils), Karidwen (la Vierge Mère), voient leurs rapports analysés. Puis l'auteur nous présente les fameux « cercles » du Monde : Anwn (l'Abîme), Abred (le Monde Terrestre), Gwenved (le « Monde Blanc » des Héros et des Dieux), Keugant (le « Cercle Vide » de l'Absolu).

Il nous montre ensuite que la théorie druidique du « Germe », cheminant par des milliers de formes d'existence - du Minéral au Végétal, du Végétal à l'Animal, de l'Animal à l'Homme - est plausible, et comment la science moderne a pu, par les multiples possibilités de l'appareillage scientifique et de l'observation rationnelle, démontrer la présence de la vie, agissante, active et évolutrice, dans les trois règnes constituant les « Cercles » secondaires de la Tradition Celtique : Anw, Gobren et Kenmil.

Enfin, près de 190 triades théologiques ou philosophiques (dont de nombreuses sont inédites), traduites du gallois ou du breton, viennent asseoir les conclusions de l'auteur et en confirmer le caractère traditionnel. Plusieurs chapitres sont consacrés aux rapports unissant les traditions hellénique et pythagoricienne à la tradition celtique, et celui traitant de l'Apollon Hyperboréen projette une lumière inattendue sur certains aspects du problème. Le Celtisme nous apporte une métaphysique plus qu'une religion mais, de ce rationalisme apparent, il se dégage la certitude en une éternelle et personnelle vie. Que demander encore ?