traduit de l'italien par François Rosso
Quatrième de
couverture
En évoquant, dans une longue lettre qu'il adresse à son fils, L'île au trésor, L'attrape-coeurs, deux poèmes de T.S. Elliot et Le naufragé de Thomas Bernhard, l'auteur offre une lumineuse leçon de critique, et en même temps une sorte d'autobiographie secrète.