Liberté sous caution ou Les tribulations d'un exclu imposable : récit

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 206 pages
Poids : 500 g
Dimensions : 15cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84878-078-8
EAN : 9782848780788

Liberté sous caution ou Les tribulations d'un exclu imposable

récit

de

chez In octavo éditions

Paru le | Broché 206 pages

Tout public

20.50 Indisponible

préface Jean-Louis Kiehl, Eric Sander


Quatrième de couverture

« Jo et Marie avaient payé un lourd tribut pour honorer les exigences du jugement initial, et réparer leur faute : ils avaient perdu leur logement, on leur avait pris le reliquat de l'indemnité de licenciement et les retraites de Jo étaient minorées de 15 % pour sa vie durant. Ils ne possédaient aucune épargne et n'avaient plus aucune possibilité de prévoir la moindre réserve de précaution leur permettant de faire face au plus petit aléa de la vie. Marie avait failli y perdre la vie. Elle était désormais en traitement médical de longue durée. Cette caution versée en échange de leur semi-liberté avait permis d'apurer, dès juillet 2000, 50 % de leurs dettes, mais ils venaient d'entrer dans la précarité. »

« Plaie d'argent n'est pas mortelle. » Pas si sûr ! La France compte aujourd'hui plus de six cent mille ménages qui, incapables de répondre aux exigences de leurs créanciers, se voient projetés dans la spirale de l'exclusion. Chaque mois, treize mille dossiers sont déposés auprès des commissions de surendettement. Derrière ces chiffres, des vies brisées, des femmes, des hommes à la recherche d'une deuxième chance. Comme Georges Krausz en témoigne dans ces pages...

Biographie

Au début des années 90, Georges Krausz, cadre supérieur, voit son salaire divisé par deux à la suite d'une mutation en province. Commence alors pour la famille, incapable de faire face aux dettes contractées au temps des années fastes, une lente, mais inexorable descente aux enfers, Aujourd'hui ruiné, dépouillé du superflu et même du nécessaire, Georges conserve l'espoir de faire entendre sa voix. Pour lui, mais aussi pour toutes les victimes de ces « accidents de la vie ».