Louises : les femmes de la Commune

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 160 pages
Poids : 890 g
Dimensions : 23cm X 30cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35848-118-2
EAN : 9782358481182

Louises

les femmes de la Commune

de

chez Bleu autour

Collection(s) : D'un regard l'autre

Paru le | Broché 160 pages

Tout public

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préface de Sarah Al-Matary


Quatrième de couverture

Alphonsine, Rosine, Louise, Rosalie, Séraphine, Eulalie, Paule... couturière, ouvrière mécanicienne, institutrice, lavandière, giletière, écrivaine... et ambulancière, cantinière, pointeuse d'artillerie, combattante... fusillée, emprisonnée, déportée... et salie, humiliée, oubliée...

Les femmes de la Commune ont élevé le coeur de l'idéal des hommes de la Commune. Dès le 18 mars, premier jour de la révolution parisienne, au son du tocsin, les femmes et les enfants de Montmartre s'opposent vivement à l'enlèvement des canons de la butte par la troupe, obtiennent des soldats (« Vous ne tirerez pas sur le peuple ! ») la fraternisation avec la foule, entourent les soldats, arrêtent les chevaux, coupent les harnais. Privées du droit de vote et de représentation, elles ne participeront pas aux délibérations de la Commune. Organisées dans les comités d'arrondissement, les clubs, l'Union des femmes pour la défense de Paris et les soins aux blessés, elles vont bousculer le paternalisme gouailleur de leurs compagnons révolutionnaires en réclamant la fin de l'exploitation, la part égale à travail égal, l'affranchissement de tous...

Ce livre, chronique poétique en images, rend hommage aux Louises, citoyennes de la Commune qui ont voulu « considérer les douleurs générales de l'humanité comme rentrant dans la cause commune des déshérités » (Louise Michel).

« Le trait noir et nerveux d'Éloi Valat, ses à-plats de couleurs franches constituent un travail d'une modernité époustouflante. »
Jean-Marie Borzeix, ancien directeur de France Culture.

« Des dessins saisissants. C'est passionnant, bouleversant, superbe. »
Kathleen Evin, France Inter.

« On sent une révolution en marche, une fébrilité, la dimension du combat, l'omniprésence de la mort. »
Emmanuel Laurentin, France Culture.

Du même auteur : Eloi Valat