Ma passion pour le spectacle : souvenirs de plus d'un demi-siècle d'activité (1953-2010)

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 253 pages
Poids : 542 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8321-0399-9
EAN : 9782832103999

Ma passion pour le spectacle

souvenirs de plus d'un demi-siècle d'activité (1953-2010)

de

chez Slatkine

Paru le | Broché 253 pages

Tout public

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recueillis par Claude Tappolet | préface Pierre Bouru | postface Jacques Mailhot


Quatrième de couverture

«Je me suis toujours intéressé au spectacle. Jack Yfar étant un grand homme de spectacle, il est normal qu'un jour ou l'autre j'accepte de participer à sa reconnaissance.»

«Je pense que le "plus gros coup" de notre ami Jack Yfar a été l'organisation des concerts d'Yves Montand à Genève. L'événement a fait grand bruit. L'artiste était au sommet de sa gloire mais il n'avait pas chanté depuis plus de dix ans. Son retour était attendu avec inquiétude. Yves Montand attirait sur lui un regard qui dépassait de beaucoup sa personnalité artistique. Jack Yfar assura les spectacles avec brio et toute la minutie qu'on lui connaissait.»

«Je me flatte d'avoir été l'un des premiers à attirer l'attention de l'auteur sur la personnalité de Jack Yfar. Il y avait tant de choses à dire : être le directeur de la plus importante salle de spectacles de Genève ; être l'imprésario de quelques grands artistes mondiaux ; être un politicien local dont chaque intervention rendait fiévreux ses "meilleurs adversaires" ; avoir reçu de la part du gouvernement français les honneurs les plus élevés, dont la médaille d'Officier du Mérite National, sont des péripéties qui ne peuvent laisser le lecteur indifférent.»

(Extraits de la préface de Pierre Bouru)

«J'ai connu Jack Yfar lors de la tournée que les Galas Karsenty avaient organisée autour de L'Oreille en Coin, la fameuse émission de France-Inter que nous animions avec Maurice Horgues.»

«Nous avions entre nous un personnage commun. Il s'agit de mon compatriote Fernand Raynaud pour lequel j'ai toujours avoué une fervente admiration. Je savais que Jack l'avait connu, encouragé et soutenu depuis ses premiers succès. Le temps avait scellé une amitié indéfectible. Entre le fils d'ouvrier Michelin monté à Paris et l'ancien serveur débrouillard du quartier rouge de Plainpalais à Genève, le courant ne pouvait que parfaitement passer. Même souci pour l'efficacité discrète, même aversion pour l'esbroufe. Ces deux-là savaient qu'il vaut mieux boire moins grand mais dans son verre.»

«Autour de nous, le monde et notre métier a beaucoup changé aussi. Le Business a désormais pris le pas sur le Show et les carrières sont de plus en plus éphémères. À peine le temps de fumer un Punch qu'elles sont déjà consumées.

Aujourd'hui les présidents de la République épousent des chanteuses et se prennent pour des stars, et les chanteuses se prennent pour des guides et parlent de politique. Jack Yfar, qui connaît parfaitement les deux, n'a pas fini de s'amuser.»

(Extraits de la postface de Jacques Mailhot)