Marseille connection : comment la cité phocéenne est devenue la ville de tous les trafics

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 461 pages
Poids : 100 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8098-1050-9
EAN : 9782809810509

Marseille connection

comment la cité phocéenne est devenue la ville de tous les trafics

de

chez Archipel

Paru le | Broché 461 pages

Tout public

27.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Héroïne, cocaïne, haschisch... À Marseille, le supermarché de la drogue fonctionne 24 heures sur 24. Pour tenir cette boutique dont les bénéfices se comptent en millions, les armes crachent le plomb.

Autour du Vieux Port, l'histoire du grand banditisme s'enrichit d'une chronique nécrologique quotidienne. Hier on ciblait le concurrent au colt 11.43 ; aujourd'hui on l'arrose à la Kalashnikov. Naguère, on tuait pour l'héroïne, désormais, pour le haschisch et la cocaïne.

Le marché de la came renaît avec le retour des papys flingueurs, tel François Girard, commanditaire de l'assassinat du juge Pierre Michel en 1981. Libéré pour raisons médicales, il a aussitôt replongé dans le business. D'autres collègues de la «blanche marseillaise» sont déjà au cimetière. Certains se sont retirés des affaires aux États-Unis après avoir conclu le marché dit du «repenti» avec la justice américaine : «Balancez, nous ferons le reste.» Ils se racontent dans ce livre, détaillant les méthodes des caïds.

Pendant ce temps, Marseille reste fidèle à sa légende : le «phénix» de la came. Voici un demi-siècle de French Connection raconté par l'un des meilleurs connaisseurs de ses arcanes.

Biographie

Né à Oran en 1933, François Missen, ancien correspondant de guerre au Vietnam, en Algérie et en Afghanistan, grand reporter pour RTL et VSD, a reçu le prix Pulitzer pour ses reportages sur la French Connection. Auteur de documentaires, La French Connection, les rois de la came (Canal+, 2007) et de livres La Planète blanche (avec M. Morin, Tsuru, 1990), American Connection (avec M. Morin, Ramsay, 1992), Guantanamo (Max Milo, 2012), il réside à Marseille.

Du même auteur : François Missen