traduit de l'anglais par Francis Kerline | préface Linda Lê
Quatrième de
couverture
L'un des plus romanesques parmi les romans de Jack London, cet ouvrage peut se lire comme une sorte d'autobiographie. Martin, ouvrier devenu écrivain, n'arrive plus à se reconnaître dans le prolétariat dont il est issu, mais refuse la bourgeoisie qui lui tend les bras. Se devinant voué à la solitude et à l'échec, il décide de précipiter sa fin...