Mémoires des deux rives : entre médias et pouvoirs

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 297 pages
Poids : 470 g
Dimensions : 15cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35417-017-2
EAN : 9782354170172

Mémoires des deux rives

entre médias et pouvoirs

de

chez Ed. du Moment

Collection(s) : Document

Paru le | Broché 297 pages

Tout public

19.95 Indisponible

Quatrième de couverture

Georges Fillioud, alors journaliste débutant, intègre la première équipe rédactionnelle d'Europe n° 1 en 1955. Dix ans plus tard, devenu rédacteur en chef, il en est évincé pour « raison d'État » : c'est son soutien à François Mitterrand, candidat à l'élection présidentielle, qui lui vaut cette sanction. Ces circonstances l'amènent à « entrer en politique ». Élu député de la Drôme, il devient un proche du futur chef de l'État qu'il accompagnera tout au long de son parcours. Ministre de la Communication de 1981 à 1986, il transforme l'audiovisuel en faisant voter des lois qui suppriment le monopole d'État, autorisent les radios libres, créent les nouvelles télévisions : Canal +, La Cinq, la Six et les réseaux câblés aux multiples chaînes.

Au carrefour des médias et des pouvoirs, il est un professionnel militant, tour à tour observateur et acteur. Élu local, ministre, conseiller d'État, président de l'Institut National de l'Audiovisuel, membre du Conseil de surveillance de la Sept, du conseil d'administration de l'AFP, il termine sa longue carrière en qualité de président de l'Assemblée générale de Arte. Georges Fillioud revient dans ce livre, non sans humour, sur cinquante ans d'expériences, de rencontres, de portraits et d'anecdotes sur les personnages qui font la communication et la politique, saisis sur les rives de ses deux passions : l'information et la politique.

Biographie

Membre de la première équipe d'Europe n° 1 dans les années cinquante, Georges Filloud quitte le journalisme en 1965 pour s'engager dans la vie publique, au côté de François Mitterrand. Il devient ministre de la Communication de 1981 à 1986 et fait voter les lois permettant la naissance des radios libres. Il ouvre aussi le champ des chaînes de télévision privées.