Mes rêves avaient un goût de sel : itinéraire d'un nageur de combat de la Marine

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 448 pages
Poids : 563 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8127-0500-7
EAN : 9782812705007

Mes rêves avaient un goût de sel

itinéraire d'un nageur de combat de la Marine

de

chez Presses du Midi

Paru le | Broché 448 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Mes rêves avaient un goût de sel

Depuis les premiers nageurs de combat français formés en 1952, le chiffre de mille n'a pas encore été atteint et cela en fait un certificat d'exception.

Sans devenir des icônes, il est vrai que nous représentions un groupe un peu spécial au sein de la Marine nationale, mais nous avons su rester des hommes ordinaires pratiquant, il est vrai, des activités qui elles ne l'étaient pas...

Comme je l'ai écrit dans ce livre, nous connaissions dès notre incorporation à l'école des fusiliers marins les risques et les enjeux. Nous étions libres d'abandonner à tout moment, mais pour la grande majorité d'entre nous, l'honneur de porter le béret vert allait au-delà des risques encourus. Nous n'étions ni fous ni inconscients, mais animés par des sentiments particuliers où se mariaient fierté, soif d'aventure, respect des anciens et des traditions, mais également la recherche d'autres valeurs individuelles que seuls ceux qui nous ont montré le chemin et les autres, qui ont suivi nos traces, peuvent comprendre.

J'ai vécu une aventure extraordinaire avec des camarades hors du commun où l'enthousiasme nous a souvent entraînés au-delà des limites que nous pensions raisonnables, nous faisant parfois oublier que nous étions des mortels...

Biographie

Né en 1948 à Toulon, Jean-Pierre Roybon entre dans la Marine en 1965. Fusilier-marin, certifié commando, il est affecté au Commando de Montfort section antichar.
Certifié nageur de combat en 1968, il intègre le commando Hubert à Saint-Mandrier. À la suite d'un tragique événement familial, il prendra la décision d'écourter sa carrière militaire et deviendra plongeur professionnel pour la direction des Travaux Maritimes, ce qui le mènera jusqu'en Polynésie. D'une verve joyeuse et décapante, il écrit comme il parle avec son accent méridional et c'est sans la moindre exagération, ni la plus petite rodomontade, qu'il décrit son entraînement et les techniques employées, faisant de ses souvenirs un précieux et très complet récit de la vie d'un nageur de combat.