traduction de l'anglais par Rémi Labrecque
Quatrième de
couverture
Dans Mes souliers me font mourir, la poète Robyn Sarah se penche sur le temps qui passe, la fugacité des rêves et le plaisir doux-amer de penser au « trésor » qu'est le passé. Musical, méditatif, chaleureux et étonnamment drôle – ce que la traduction de Rémi Labrecque rend à merveille – il en va d'un recueil à l'écriture réparatrice et émouvante de l'une des poètes canadiennes les plus réputées. Robyn Sarah a remporté le Prix du Gouverneur général en 2015 avec ce recueil (de l'anglais My shoes are killing me).