Meurtres au club

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 216 pages
Poids : 250 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-37839-072-3
EAN : 9782378390723

Meurtres au club

de

chez La P'tite Hélène éditions

Paru le | Broché 216 pages

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Quatrième de couverture

Meurtres au club

À Paris, sur les quais de la Seine, une première victime. Mais de quoi au juste ? A priori, d'un incompréhensible et terrifiant phénomène physiologique. Or, à soixante kilomètres de distance, deux autres personnes présentent les mêmes symptômes. Aucun lien apparent entre ces trois cas déconcertants ! Seul, un spécialiste va pouvoir établir un rapprochement effrayant qui met en branle les services secrets français les plus pointus. L'enquête est confiée à François de Bresson et elle est tout sauf simple : quels rapports entre un pays de la péninsule arabique plongé dans une atroce guerre civile, qui laisse tout le monde indifférent, et le Rotary Club de la très paisible ville de Blezac ? Paisible ? Voire : les rotariens y disparaissent les uns après les autres ...

Extrait :
François démarra doucement et fila devant lui. Impossible de demander du secours...
Il emprunta l'avenue Vauban, la suivit. Le cosaque lui dit :
- À droite !
C'était la rue Turgot.
François se dit que parler ne coûterait rien :
- Je pourrais suivre vos indications sans que vous me menaciez avec votre pistolet, vous savez... Où allons-nous ?
- Vous pensez que je vais vous le dire, vous fournir les coordonnées GPS ? Le cosaque n'était ni analphabète ni dépourvu d'humour. Rassurant... On pouvait sans doute discuter un peu...
François poussa un pion :
- Et vous, vous pensez qu'on enlève un diplomate comme ça... comme on va au marché acheter cinq cents grammes de haricots verts. Vous n'avez jamais entendu parler de la DGSE ?
Le cosaque ravisseur se contenta de répliquer :
- Quand Charlemagne arrive, Roland est mort !
Pour être cultivé, il était cultivé : rien à redire ! Tout au moins en ce qui concernait l'Empereur à la barbe fleurie dont plus personne ne devait parler à l'école. Mais la réponse n'était pas du tout encourageante cette fois, et elle était carrément inquiétante. Très inquiétante même : ce type semblait tout à fait assuré de son impunité, se sentait manifestement assez puissant pour l'enlever, lui, François, voire le rayer du monde des vivants.

Du même auteur : Jean-Marie Le Guevellou