exposition, Strasbourg, Musée d'art moderne et contemporain, février-avril 2004
Quatrième de
couverture
Michel Journiac imagine des rituels baroques et radicaux pour dire que "le corps est un absolu que le désir ou la mort révèle". Il se réfère à l'argent, au sang, au sexe, au sacré. Il parle du travestissement, de l'homosexualité, "inséparable de la photographie".