Mon Atlantide

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 135 pages
Poids : 172 g
Dimensions : 22cm X 14cm
Date de parution :
EAN : 9782846081436

Mon Atlantide

de

chez Edite

Collection(s) : E-dite roman

Paru le | Broché 135 pages

18.50 Indisponible

Quatrième de couverture

Qu'est-ce que cette Atlantide? Et qu'est-ce que ce livre? Un pastiche, teinté d'humour, des écrivains libertins du XVIIIe siècle français? Une réflexion sur l'art du roman? Ou les deux à la fois? Dans ce cas, on ne trouvera pas trop insolite qu'un essai d'une vingtaine de pages vienne, à mi-chemin, interrompre le cours du roman, celui-ci pouvant être considéré, en un certain sens, comme une tentative d'application des principes définis dans l'essai... Peut-être le lecteur peu féru de théories portera-t-il toutefois plus volontiers son attention sur le thème principal du roman: la recherche désespérée du Paradis perdu.

En effet, chacun de nous a son Atlantide, c'est-à-dire l'inguérissable nostalgie d'un épisode de son existence qu'il souhaiterait revivre, ce qu'interdit, hélas! la misérable condition humaine.

Mais à la question: «qu'est-ce que ce livre?», une autre réponse s'offre au lecteur: se prêter au jeu auquel convie l'auteur, et croire (ou feindre de croire) que celui-ci n'a écrit ce roman que pour se libérer de lancinants fantasmes sexuels.

Mon Atlantide nous propose donc plusieurs lectures possibles. Ce qui, on peut le penser, correspond au voeu secret du romancier.

Biographie

Écrivain resté longtemps très discret, mais révélé en 2001 avec son premier roman, Le Mezzetin, qui fut couronné par le prix François-Mauriac de l'Académie française, Louis Védrines a récemment publié un essai, Connaître, comprendre, aimer. Réflexions d'un passéiste (2002), un deuxième roman, Beauté des femmes (2002), et des mémoires, Souvenirs parisiens. 1940-1944 (2003).

Comme l'a écrit Bernard Le Saux à propos de Beauté des femmes, on retrouvera avec délectation dans Mon Atlantide une saveur oubliée, «la morale courante s'y trouvant certes chahutée, jamais la syntaxe, et les situations les plus scabreuses exposées dans un langage réservé, une prose impeccablement corsetée» (Le Figaro Magazine).