Mythes et symboles lunaires : Chine ancienne, civilisations anciennes de l'Asie, peuples limitrophes du Pacifique

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 251 pages
Poids : 875 g
Dimensions : 22cm X 28cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-39065-001-0
EAN : 9782390650010

Mythes et symboles lunaires

Chine ancienne, civilisations anciennes de l'Asie, peuples limitrophes du Pacifique

de

chez Walden & Whitman

Collection(s) : Mythes, rites et symboles

Paru le | Broché 251 pages

Tout public

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nachwort von Herbert Kühn


Quatrième de couverture

Dans Mythes et Symboles lunaires, l'auteur analyse les mythes et les rites d'initiation tout en faisant une série de parallèles ethnographiques.

Carl Hentze examine les symboles lunaires, que ce soit dans les relations de la lune avec l'eau, la fécondité, ou les idées de renouvellement. Il s'attarde sur les symboles et les ancêtres lunaires comme l'Arbre de vie, les cultes ou les bronzes chinois d'époque Tchéou. Il évoque le Dieu lunaire et son arc, puis termine par les animaux symboliques et leurs promenades autour de la montagne sacrée, les sacrifices humains et le Dieu lunaire dans la Chine antique.

Biographie

Peintre, Carl Hentze entre en contact avec l'art chinois au Musée ethnographique de Berlin vers 1910, ce qui le motive finalement à étudier la sinologie. En 1912, il s'installe à Berlin et connaît quelques succès en tant qu'artiste.
Il commence à acquérir des connaissances sur la langue, l'histoire et la culture de la Chine, tandis que la peinture passe de plus en plus à l'arrière-plan de ses activités.
Après la Première Guerre mondiale, Hentze retourne à Anvers. Il se légitime pour l'enseignement grâce à ses essais scientifiques et des conférences. En 1926, il est chargé de cours sur la langue écrite chinoise, l'histoire culturelle, l'archéologie et l'histoire de l'art de la Chine à l'Université de Gand.
Dans les années 30, Carl Hentze devient professeur associé à l'Université de Gand, en langue et culture chinoises et en 1942, professeur ordinaire de sinologie à l'Université de Francfort-sur-le-Main.
À la fin de 1942, il prend également la direction de l'Institut chinois, qu'il occupera jusqu'à ce qu'il soit bombardé en 1944. En 1951, il prend sa retraite et s'éteint à Darmstadt en 1975.