Nébulosité croissante en fin de journée

Fiche technique

Nb de pages : 384 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 11cm X 18cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-922145-39-7
EAN : 9782922145397

Nébulosité croissante en fin de journée

de

chez ALIRE

Collection(s) : Romans

Paru le | 384 pages

Tout public

9.90 Indisponible

Quatrième de couverture

Juin 1976… Alors qu’une terrible canicule s’abat sur tout le Québec, les jeux Olympiques de Montréal se profilent à l’horizon. Mais à Sainte-Foy, en banlieue de la Vieille Capitale, H se soucie peu de la chaleur et des jeux. À peine sorti de prison, il perd le nouvel emploi qui était censé consacrer sa réinsertion sociale. Des gens devront payer pour ce nouvel échec ! Daniel Duval, lui, est enquêteur à la Sûreté du Québec. À son retour d’un marathon, il fait face à un cas difficile : un psychopathe s’amuse à canarder des automobilistes sur le boulevard Duplessis. En compagnie de son coéquipier, Louis Harel, il tente désespérément de mettre la main au collet du tireur fou afin d’éviter d’autres meurtres gratuits. Or, les deux policiers ne connaissent pas la passion morbide de H pour la démolition automobile… ni sa ferme intention de se payer la peau d’un flic !

Biographie

Jacques Côté enseigne la littérature au cégep de Sainte-Foy. En 2000 paraissait Nébulosité croissante en fin de journée, un premier roman policier mettant en scène Daniel Duval, un enquêteur de la Sûreté du Québec travaillant dans la région de la Capitale nationale. Le deuxième titre de la série, Le Rouge idéal, a paru en 2002 et remportait l’année suivante le prix Arthur-Ellis. Jacques Côté a aussi obtenu en 2003 le Grand Prix La Presse de la biographie avec Wilfrid Derome, expert en homicides, paru chez Boréal, le prix Saint-Pacôme du roman policier 2006 pour La Rive noire, le prix Arthur-Ellis 2009 et le prix de la Ville de Québec – SILQ pour Le Chemin des brumes, quatrième enquête de Daniel Duval, et, tout récemment, à nouveau le prix Arthur-Ellis 2011 pour Dans le quartier des agités, le premier des « Cahiers noirs de l’aliéniste ».