Quatrième de
couverture
Julia confie son enfance à la DDASS, institution décriée, qui lui a bel et bien offert un cadre dans lequel elle a pu se construire les repères nécessaires pour faire de sa vie un succès. Elle ne cache rien de la dureté de ce milieu et le portrait de ses camarades d'infortune est l'occasion de rappeler la cruauté qui gouverne parfois l'enfance.