Nous ne ferons pas marche arrière ! : luttes contre la frontière franco-italienne à Vintimille : 2015-2017

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 202 pages
Poids : 168 g
Dimensions : 10cm X 17cm
Date de parution :
ISBN : 979-10-96195-04-6
EAN : 9791096195046

Nous ne ferons pas marche arrière !

luttes contre la frontière franco-italienne à Vintimille
2015-2017

de

chez Niet ! éditions

Paru le | Broché 202 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Calais, face à la frontière

Animés par le souci de relayer des récits au plus près de l'expérience des réalités migratoires, nous publions également Calais, face à la frontière.

À rebours des approches humanitaires et sécuritaires, ces deux livres sont une tentative pour inscrire la question des « migrant-e-s » dans une critique globale des logiques du capital et de l'État et dans l'histoire des pratiques de solidarité internationale.

En juin 2015, la France ferme sa frontière avec l'Italie aux personnes arrivées là suite à la traversée de la méditerranée.

À Vintimille, un groupe de migrants menace de se jeter à l'eau depuis les rochers des Balzi rossi si la frontière n'est pas ouverte et refuse de monter dans les cars de la police italienne venue pour les expulser.

Cette résistance et ce blocage sont le point de départ d'une lutte contre la frontière qui ne s'est pas arrêtée depuis.

Les paroles de différents acteurs de cette lutte se croisent dans ce petit livre en un récit composite entre mer et montagnes.

Derrière Lucía Le Maquis se cachent plusieurs membres du collectif méditerranéen de traduction Le Maquis. Celui-ci s'est formé à Marseille au printemps 2016 alors que ses membres circulent régulièrement entre France. Grèce, Italie, Espagne, Égypte et Turquie.

« La traduction occupe une grande place dans nos têtes et dans nos coeurs. Nous nous sommes constitué-e-s en collectif car nous sommes convaincu-e-s que la traduction construit des ponts entre les rives de la Méditerranée, ces rives que les frontières séparent alors qu'elles ont tant en commun. Nous pensons que les langues doivent servir à créer des ponts de compréhension et de connaissance réciproques. Pour que cette "barrière de la langue", qui fait d'un outil de communication une frontière, n'en soit plus une. »