Nouveau dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire : la bible des hussards noirs : texte intégral. Vol. 05. Géographie-Japon

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 489 pages
Poids : 800 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36500-118-2
EAN : 9782365001182

Géographie-Japon

chez Théolib

Serie : Nouveau dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire : la bible des hussards noirs : texte intégral. Vol 5

Collection(s) : Sources laïques

Paru le | Broché 489 pages

Professionnels

28.00 Indisponible

Quatrième de couverture

La « Bible des hussards noirs »

Pourquoi rééditer le Nouveau Dictionnaire de Pédagogie, coordonné par James Guillaume et dirigé par Ferdinand Buisson, et qui fut surnommé « La Bible des hussards noirs de la République Française » ? La réponse est dans la question.

Peut-être, pour faire vite, parce que les principes de l'école laïque - indissociables de ceux de la République Française - sont en passe d'être détruits.

Comment défendre des « acquis » sans en connaître la nature ? Comment parler de la « laïcité » sans avoir pris le temps d'en découvrir les acteurs ? Comment s'exprimer sur la « pédagogie » sans même en connaître la genèse ? Comment - et cela est plus grave - oser parler de la République Française en négligeant cette Bible des hussards noirs ?

Face à cette ignorance trop fréquente - et parfois calculée - sans doute revenait-il à Théolib, dans son choix souverain de l'indépendance absolue à l'égard de toute institution, de redonner à lire, et à penser, cette Bible des hussards noirs, un texte fondateur de la République Française.

« Ce maître, à qui Duruy disait en vain : "Faites des hommes", et qui n'en pouvait faire, n'étant pas lui-même traité en homme, se voit aujourd'hui, par la loi et par les règlements universitaires, investi d'une sorte de magistrature morale, garanti dans sa liberté de conscience, chargé de communiquer aux jeunes générations non seulement tout ce qu'il sait, mais tout ce qu'il aime et tout ce qu'il honore, invité à être en quelque sorte leur premier gouverneur et le représentant attitré auprès d'eux de l'État moderne. » (Ferdinand Buisson, entrée Instituteurs - institutrices)