Nouvelles chinoises. Vol. 2

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 201 pages
Poids : 225 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-916671-12-3
EAN : 9782916671123

Nouvelles chinoises. Vol. 2

chez Myoho

Serie : Nouvelles chinoises. Vol 2

Paru le | Broché 201 pages

14.20 Indisponible

Quatrième de couverture

Nouvelles chinoises

Les cinq nouvelles du second tome des Nouvelles chinoises sont également extraites du Kin-kou ki-kouan, mais traduites cette fois par le marquis Hervey Saint-Denys, en 1889.

Ces nouvelles décrivent avec la même verve des aspects de la société chinoise qui n'étaient pas illustrés dans le précédent volume dont la religion et la philosophie. Toutefois, dans ce volume, elles prennent une tournure légère voire licencieuse qui n'apparaissait pas dans le premier tome, ce qui semblerait indiquer des auteurs différents ou des époques différentes.

Les Alchimistes montre les Chinois préoccupés de l'alchimie au moment même où elle était en honneur en Europe. Il y est décrit les moyens employés par de faux adeptes du grand oeuvre pour simuler la transmutation des métaux la sincérité de ceux qui cherchent de bonne foi et la crédulité des gens exploitée par des procédés partout identiques.

Comment le ciel donne et reprend les richesses expose la conception du peuple chinois de la transmigration des âmes, de l'influence sur la destinée humaine d'une existence antérieure de l'étendue limitée du libre-arbitre et, cependant, de la responsabilité des actes dont l'accomplissement nous appartient.

Dans la troisième nouvelle, Mariage forcé, on trouve des détails curieux sur la manière dont les Chinois se marient, - et leurs sentiments sur les conditions d'un mariage bien assorti.

La Tunique de perles expose le tableau du riche marchand dans sa vie intime, l'intrigue amoureuse et le romantisme sentimental dans la Chine de l'époque.

Enfin Véritable Amitié relate l'extraordinaire amitié entre deux hommes qui ne se connaissaient pas, et leur dévouement réciproque l'un envers l'autre pendant toute leur vie.

Selon le marquis de Saint-Denys, « ce qui surprendre, ce sera souvent la manière d'envisager et de poser les choses de la vie, l'importance relative accordée à tel ou tel événement, la bizarrerie de certains détails, comme aussi la disproportion entre certaines causes et certains effets, selon nos appréciations occidentales. C'est là précisément le côté curieux de ces tableaux de moeurs, que d'y constater l'influence si grande du milieu social sur les jugements de l'esprit humain, et ce qui me paraît rendre leurs peintures vivantes plus intéressantes et plus instructives que ne le seraient de longues dissertations. »