On l'appelait le Dahlia noir

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 333 pages
Poids : 444 g
Dimensions : 14cm X 23cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84187-889-5
EAN : 9782841878895

On l'appelait le Dahlia noir

de

chez Archipel

Paru le | Broché 333 pages

Tout public

19.95 Indisponible

traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Emmanuel Dazin


Quatrième de couverture

Le crime du siècle ! C'est ainsi que s'est imposé dans l'inconscient américain le meurtre d'Elizabeth Short, survenu le 15 janvier 1947. La barbarie et l'étrange mise en scène de l'assassinat - longtemps inexpliqué - de cette starlette, qu'on surnommait à Hollywood le Dahlia Noir, en ont fait l'un des symboles du Los Angeles décadent d'après-guerre.

La fiction elle-même s'est emparée du mythe, avec le best-seller de James Ellroy et sa récente adaptation au cinéma par Brian de Palma. Nombreux ont été les écrivains à tenter d'élucider ce crime, pour lui trouver des explications tortueuses, souvent éloignées de la vérité.

Aux États-Unis, la publication de ce document a été saluée par de grands réalisateurs et par des membres de la police de L.A. proches de l'enquête. John Gilmore y réussit un triple pari. Il dresse un portrait pénétrant d'Elizabeth Short, beauté fatale entraînée par ses rêves de vie facile et une étrange frénésie de rencontres vers le cauchemar absolu. Il dévoile le cheminement de l'enquête officielle, avec ses blocages, ses trucages, ses échecs. Il met, enfin, un nom et un visage sur l'assassin du Dahlia Noir, à qui il donne la parole...

Nul récit de l'affaire du Dahlia Noir n'est aussi hypnotique, troublant et propre à glacer d'effroi.

Biographie

Né en 1935 à Hollywood, où il fut longtemps acteur et scénariste, John Gilmore, dont le père était inspecteur de police en 1947 à Los Angeles, a consacré une grande partie de sa vie à l'affaire du Dahlia Noir. Il est l'auteur d'ouvrages sur la face cachée de Hollywood, d'une biographie de James Dean, dont il fut l'ami intime, et d'une enquête sur Charles Manson, l'assassin de Sharon Tate.