On regardait ailleurs : des Russes ordinaires contre la guerre

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 216 pages
Poids : 224 g
Dimensions : 13cm X 19cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-251-45503-7
EAN : 9782251455037

On regardait ailleurs

des Russes ordinaires contre la guerre

de

chez Belles lettres

Collection(s) : Mémoires de guerre

Paru le | Broché 216 pages

Tout public

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textes russes révisés par Pavel Merzlikine | et publiés par Meduza | traduction du russe Catherine Perrel


Quatrième de couverture

Pour la première fois, des citoyens russes, gens simples et ordinaires, évoquent leur opposition à la guerre en Ukraine. Depuis les premières heures du conflit, la jeune journaliste Kristina Safonova a recueilli les témoignages de ces femmes et de ces hommes que l'on n'entend jamais.

« J'ai peur que les gens en Russie qui ne soutiennent pas le pouvoir se retrouvent isolés, sans voix. Et je voudrais montrer que tous les Russes ne sont pas pour la guerre et aussi faire en sorte qu'ils se sentent un peu moins seuls. » Kristina Safonova, 25 ans, travaille pour le site d'information indépendant Meduza, l'un des plus réputés pour la qualité et le sérieux de ses enquêtes. Elle a dû fuir son pays en 2020 après que la police se soit présentée à son domicile parce qu'elle avait participé à un rassemblement de soutien à l'opposant Alexeï Navalny.

Depuis elle s'attache à raconter la vie de ses compatriotes, des gens ordinaires, de toutes conditions sociales, et à les faire réagir sur la guerre en Ukraine. Elle montre le poids de l'histoire, comment la main de fer de Vladimir Poutine a peu à peu étranglé le pays mais aussi la complexité des choix, des existences. Elle donne la parole, avec une écoute fine et attentive, à des gens qui se questionnent, s'opposent, un peu partout en Russie.

Un texte qui éclaire avec nuances les vies et positions de différents habitants de l'immensité russe trop souvent considérés comme une masse homogène.

Biographie

Kristina Safonova, journaliste russe exilée depuis 2020, travaille pour le site d'information indépendant Meduza.

Catherine Perrel, traductrice du texte