Österreichische Galerie, musée du Belvédère superieur : Vienne

Fiche technique

Format : Cartonné
Nb de pages : 93 pages
Poids : 460 g
Dimensions : 19cm X 26cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8105-0337-7
EAN : 9782810503377

Österreichische Galerie, musée du Belvédère superieur

Vienne

chez Le Figaro

Collection(s) : Les plus grands musées d'Europe

Paru le | Cartonné 93 pages

Tout public

9.90 Indisponible

traduit de l'italien par Karine Richier | préface Patrick de Carolis


Quatrième de couverture

Les plus grands musées d'Europe

Se plonger dans le patrimoine artistique européen, c'est d'abord aller à la rencontre de musées prestigieux, intimement ancrés au coeur des plus grandes cités du Vieux Continent, comme dans l'imaginaire des curieux du monde entier.

Ils hébergent des trésors artistiques qui forment l'âme et le visage de notre civilisation. Le Louvre à Paris, l'Ermitage à Saint-Pétersbourg, le Prado à Madrid... Les musées les plus fameux vous ouvrent leurs portes pour une immersion complète dans notre patrimoine artistique, de l'Antiquité à nos jours.

Cette collection vous propose de les visiter ou de les revisiter virtuellement grâce à 20 volumes traçant l'itinéraire idéal d'un voyage culturel à travers toute l'Europe. À chaque musée, son volume, composé d'un livre, d'un DVD et d'un audioguide en mp3 pour parcourir les salles et admirer en détail les chefs-d'oeuvre des plus belles galeries.

Le Musée du Belvédère supérieur

« L'ancien Palais du prince Eugène est peut-être le palais le plus baroque qui soit au monde. Courbes, contre-courbes, volutes, ellipses, stucs chantournés à l'excès, ciels peuplés de nudités virevoltantes, tout a été conçu pour déstabiliser le visiteur, énerver ses sens et le plonger dans un état de latence hébétée. Ce palais est en soi un défi à l'ordre du monde et à la raison, un rêve de pierre et de marbre qui ne semble obéir qu'aux désirs de son concepteur et aux tourments secrets de son architecte. Des désirs troubles, aux contours sinueux et mal définis, qui vous hantent sans vraiment se révéler, ni s'assouvir. L'Autriche ne pouvait pas mieux choisir que ce palais fantasmatique pour abriter les chefs-d'oeuvre de ces peintres de la Sécession qui ont projeté sur la toile les reflets de leur inconscient... »
Patrick de Carolis, journaliste et écrivain