Oui, c'est la guerre, mais je suis là : de Saint-Nazaire à Neuchâtel, une enfance dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 355 pages
Poids : 462 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-940398-02-7
EAN : 9782940398027

Oui, c'est la guerre, mais je suis là

de Saint-Nazaire à Neuchâtel, une enfance dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale

de

chez Ed. Delibreo

Collection(s) : Récits

Paru le | Broché 355 pages

Tout public

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Quatrième de couverture

Dans la pénombre d'un grenier jurassien apparaît un drapeau tricolore en lambeau, vestige de la Libération de Paris. « Maman, raconte ! » réclament les enfants et les souvenirs de l'enfance en France vont ressurgir.

Durant les cinq années de guerre, l'auteure et sa famille vont être confrontées aux difficultés de la guerre : la fuite et l'errance de Saint-Nazaire (Bretagne) au vignoble girondin où se trouve la maison familiale, la faim et les difficultés de ravitaillement, puis les bombardements et la destruction quasi totale de la ville de Saint-Nazaire et de leur maison.

L'été de la Libération, la fillette, séparée de sa famille, va devenir la complice muette de son oncle, homme de confiance de la générale Leclerc, en transportant des messages et des armes sur sa bicyclette. La paix enfin signée, son père la confie, contre son gré, à la Croix-Rouge qui organise des convois d'enfants, « ayant souffert de la guerre ». Ainsi la petite Bretonne découvre la Suisse, qui deviendra sa nouvelle patrie.

Du drapeau tricolore en lambeau découvert au fond du grenier Jurassien, naît un récit qui nous entraîne dans les pas d'une fillette ballottée par la guerre...

Biographie

Odette Roulet-Le Berre, née en 1931 à Saint-Nazaire, en Bretagne, a vécu son enfance en France dans les turbulences de la Seconde Guerre mondiale. A l'adolescence, grâce à la Croix-Rouge, elle découvre la Suisse et fait la connaissance de celui qui deviendra son époux, Philippe Roulet, pasteur et artiste romand.
Après ses études d'infirmière à Paris et plusieurs années de pratique, elle seconde son mari dans son ministère et se consacre à l'éducation de leurs trois enfants. Ceux-ci devenus adolescents, elle se lance dans une licence de Lettres, dont l'histoire de l'art à l'Université de Neuchâtel.
Elle profite de sa retraite pour rédiger un récit, qui met en résonance son enfance bousculée par la guerre et ses aspirations de militante pour la Paix. Elle est lauréate du prix « Créativité au Troisième Age », qu'elle a reçu en 2006 pour cet ouvrage.