Pardon aux iroquois

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 296 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 12.07cm X 20.96cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-89833-012-4
EAN : 9782898330124

Pardon aux iroquois

de ,

chez Lux Éditeur

Collection(s) : Mémoire des Amériques

Paru le | Broché 296 pages

Tout public

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préface, Joseph Mitchell


Quatrième de couverture

«Je demande pardon aux Iroquois, et je veux essayer d’expliquer ici pourquoi il est possible de méconnaître à ce point les Indiens, et pourquoi il est difficile à ceux qui se soucient d’eux d’amener les autres à s’y intéresser.» Edmund Wilson, éminent membre du cénacle intellectuel new-yorkais des années 1950, apprend un jour, en lisant le journal, qu’un groupe d’Iroquois revendique une terre où se trouve sa maison de campagne. La nouvelle le pousse à partir à la rencontre de ses voisins pour découvrir non pas les Indiens, mais sa propre ignorance à laquelle il entreprend de remédier. Il fait alors la connaissance des Mohawks, des Sénécas, des Onondagas et des Tuscaroras. Il obtient leur accord pour assister à leurs cérémonies, et il décide de témoigner de leur condition d’existence, de leur histoire et de leurs luttes politiques. Pardon aux Iroquois est le récit d’une prise de conscience, mais surtout la description passionnée et admirative d’un peuple combatif, à la fois attaché aux traditions et ouvert à la modernité. Ce texte est précédé d’un reportage de Joseph Mitchell sur les Mohawks qui ont construit les gratte-ciel de New York, le pont de Québec et tant d’autres structures d’acier de l’Amérique du Nord. Edmund Wilson (1895-1972) est l’un des critiques littéraires les plus influents des années 1940-1950 aux États-Unis. Il a été rédacteur de Vanity Fair, et a écrit pour le New Yorker et la New York Review of Books. Il est passé maître dans l’art du journalisme narratif.

Biographie

Edmund Wilson (1895-1972) est l’un des critiques littéraires les plus influents des années 1940-1950 aux États-Unis. Il a été rédacteur de Vanity Fair, et a écrit pour le New Yorker et la New York Review of Books. Il est passé maître dans l’art du journalisme narratif.