Quatrième de
couverture
Le philosophe J. Sojcher est allé à la découverte de son compatriote Paul Delvaux. Il a compris la réponse agacée de l'artiste questionné sur le pourquoi et le comment de ses étranges personnages immobiles, de ses compositions statiques, des trains, des gares, des nus : "Mais enfin, il n'y a qu'à regarder, c'est tout."