traduit du norvégien par François Regnault
Quatrième de
couverture
Ecrite en 1867, inspirée de contes populaires norvégiens, cette pièce met en scène, sur un mode tout autant épique que lyrique, les aventures d'un homme à la recherche de son identité. Poétique, métaphysique et initiatique, elle nous apprend que l'on ne devient soi-même qu'en se déprenant de soi et que le déni de la mort permet, tout compte fait, de mieux vivre.