Quatrième de
couverture
L'exposition confronte deux artistes : d'un côté, Robert Combas, qui se détache des mouvements conceptuels des années 1970 pour renouer avec une peinture jugée réelle et insolente, et de l'autre Jean-Pierre Raynaud, qui emploie de façon obsessionnelle des motifs et des objets liés à son histoire pour se les réapproprier en leur donnant une valeur formelle.