Quatrième de
couverture
Les Petites violences qui donnent leur titre au deuxième roman de Mme Madeleine Monette sont dévastatrices. [...] Petites violences qui pallient la banalité de l'existence en lui apportant une dose soutenue d'enfer; petites violences qui usent ou exacerbent les sentiments mais ne tuent pas, qui poussent les êtres à des gestes que le temps seul ne saura jamais effacer; petites violences enfin qui évoquent, en négatif, « la petite mort » qui est aussi l'instant où se creuse infiniment, à l'issue d'un rendez-vous privilégié, la distance entre les amants.