Paru le 15/09/2002 | Broché 63 pages
préface Jean-Marie Gilory
J'ai lu « Les Nymphéas des songes » le soir même où vous me l'avez apporté. C'est un livre vrai, mûr, que l'on sent porté de longue date. Comme le résultat d'une méditation poétique du monde entreprise depuis longtemps.
Christian Bulting
Tendresse et nostalgie, frémissement du coeur et de l'âme saisis par l'espace et le temps dans un décor humble, simple, dépouillé, mais combien riche d'harmonie et harmonies.
Yves Cosson
(...) paysages intérieurs, visions simples et denses dédicacées aux intimes, aux peintres, poètes, villes aimées (...) Toutes ces références sont marquées par une énergie violente, un lyrisme sobre, une quête onirique et révolutionnaire de la liberté, un sceau lumineux.
Anne Darras (Froissart)
Un imagier d'exception et doué d'un affect (cf Yung) qui n'a pas d'équivalent dans sa province... et dans tellement d'autres. On en retire l'impression que le poète dit la nature et les gens comme font les coquelicots lorsque le ciel leur cède la parole.
Jean-Paul Mestas (Jalons)
Des mots simples et vrais et qui vont droit au coeur en effet, et veillent en chacun de nous la nostalgie de l'enfance qui nous laisse « La nuque à vif / sous le licou du temps ».
Michele Molto-Courren (Les Nouveaux Cahiers de l'Adour)
De courts poèmes d'une grande délicatesse, une fugitive vision d'un paysage, d'un instant, en quelques mots esquissant la nécessaire envolée d'un poème.
(Pages de Garde)
Jean-Claude Albert Coiffard, né à Nantes en 1933. Vit à Nantes. Sociétaire de la Société des Poètes Français et membre de la Société Académique de Nantes et de la Loire-Atlantique. Responsable et animateur de l'émission « Rivages Poétiques » sur Radio-Fidélité. Membre de « Poésie d'abord » et rédacteur à la revue « 7 à dire ». A publié : Les Cernes Bleus de la Nuit, Traces, 1992. Les Nymphéas des Songes, collection Jalons, 1999. A paraître : Venise, de pourpre et d'Orient - Dessins et poèmes (avec le peintre Loïc Noël). Manoll - Cadou, une amitié en plein coeur, préface d'Yves Cosson.
