arretalepho
traduit de l'américain par Xavier Guesnu | postface André Gabastou
Quatrième de
couverture
Confrontant un noyau imaginaire, fait de réminiscences et d'affects, à une subtile exploration ethnique, l'auteur suspend le monde rural basque des années 60 entre rêve et réalité. Derrière l'apparente simplicité des portraits et des paysages, la conscience d'un mystère, l'expérience de l'étrangeté et la présence d'une mémoire asphyxiante sont la principale force de ce roman autobiographique.