préface Gilles Anquetil | édition Marc Taraskoff
Quatrième de
couverture
A. Gerber écrivit le jazz en toute liberté. Le jazz fut alors une superbe matière à écriture. Ses chroniques pour Les Nouvelles ou Le Matin de Paris et ses récents textes sont des digressions littéraires qui collent pourtant au plus près du jazz et de ses mystères. La musique et les musiciens sont ses prétextes à fictions.