Portraits parlés : j'ai rêvé de dessiner les gens qui changent le monde : soixante-huit rencontres d'hommes et de femmes qui ont pris des risques pour passer de l'ombre à la lumière

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 315 pages
Poids : 1000 g
Dimensions : 21cm X 27cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8251-3716-1
EAN : 9782825137161

Portraits parlés

j'ai rêvé de dessiner les gens qui changent le monde
soixante-huit rencontres d'hommes et de femmes qui ont pris des risques pour passer de l'ombre à la lumière

de

chez Age d'homme

Paru le | Broché 315 pages

Tout public

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préface Michel Thévoz, Jean Lacouture, Nicholas Mann


Quatrième de couverture

J'ai rêvé de dessiner les gens qui changent le monde

Pendant des années, Ariane Laroux a dessiné des hommes et des femmes qui ont pris des risques pour passer de l'ombre à la lumière. Peu à peu, au fil des rencontres, un dialogue s'est établi, dialogue fait d'intimité, d'introspection, de confiance : le portrait ouvrait la porte du coeur. Soixante-huit interviews, plus de cent portraits sont le résultat d'un travail de seize ans, d'incessants voyages, d'heures de dialogue et de pose.

Ariane Laroux devine de façon mediumnique le caractère de la personne, le dessin le révèle faisant sortir du blanc du papier leur regard, leur bouche, leurs cheveux et tout d'un coup leur âme. Elle peint et dessine toujours directement, sans esquisse ni retouche, devant tous ces modèles qui bougent constamment. Se concentrer et croire violemment en la force interne du trait. Tout est dit, quand le blanc de la toile ou du papier vire tout d'un coup et devient un espace où l'on pourrait entrer.

« Quoi de plus passionnant que les confidences faites ici par Benoîte Groult, s'agissant aussi bien de Marie Bonaparte que de ses proches ? Quoi de plus éclairant que ce que confient Salima Ghezali, Rigoberta Menchu ou la première femme rabbin d'Europe continentale, Pauline Bebe ? Et puis il y a Germaine Tillon, la profonde, la judicieuse. Ariane Laroux ne dissimule pas qu'elle tient ce privilège pour un trésor. Il se trouve qu'elle a trouvé bon de nous le faire partager. Merci, Ariane au fil d'or. »
Jean Lacouture