Pourquoi mon père ?

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 176 pages
Poids : 380 g
Dimensions : 14cm X 20cm
Date de parution :
EAN : 9782913790421

Pourquoi mon père ?

de

chez A à Z Patrimoine éditions

Paru le | Broché 176 pages

Tout public

19.00 Indisponible

Quatrième de couverture

1944-2004

Le lundi 5 juin 1944 à 19 heures, un artisan, père de trois enfants, est assassiné dans son lit par deux hommes venus et repartis à bicyclette. La presse parle de terroristes et de crime mystérieux. La veuve, présente lors du meurtre, intente une action en justice, accuse des résistants, et obtient une décision favorable. Elle est déclarée veuve civile de guerre et reçoit une pension. Le dossier contenant les enquêtes est classé secret.
La rumeur dénonce l'auteur de l'opération, un chef FTP tué par la suite sur le front de Royan. Le nom de son acolyte est moins souvent cité. L'affaire officielle est close. La vie disperse les membres de la famille. Chacun est marqué à sa façon par la mort brutale d'un époux, d'un père, d'un fils. C'était la guerre.
Cinquante ans plus tard, le fils découvre que le meurtre de son père a laissé des traces dans le Sancerrois. Au hasard d'une visite dans une librairie solognote, il achète un livre sur la Résistance dans le Cher. Commence alors une longue recherche, à rebondissements, ne sorte aussi de parcours initiatique.

Biographie

Gilbert Moreux, né à Sainte-Gemme-en-Sancerrois, est retraité du ministère des finances, où il était directeur départemental odjoint des impôts. Militant syndicaliste, il a été président de la Fédération des finances CFDT (1964-1966) et de l'Union départementale des syndicats CFDT du Loir-et-Cher (1969-1971) puis membre du Comité économique et social de la région Centre (1977-1982). Militant au parti socialiste, il a été conseiller municipal à Vineuil (Loir-et-Cher) et conseiller régional de la région Centre (1986-1992).
Il a écrit L'information des citoyens contribuables, dans la revuue Économie et Humanisme (janvier 1967) et Un syndicalisme ambigu, dans la revue Esprit (janvier 1970).