traduit du suédois par Philippe Bouquet
Quatrième de
couverture
Stig Dagerman parlait de lui-même comme celui qui crie dans le désert parisien. Et pourtant la morosité n'atteint ni l'ironie ni la perspicacité de son style. P. Bouquet, qui a sélectionné une quarantaine de poèmes tirés du journal de la Fédération anarcho-syndicaliste suédoise, a parfois pris quelques libertés avec la lettre du texte, pour tenter d'en rendre tout le mordant satirique.