Paru le 23/02/2011 | Relié 29 pages
images de Nalini Malani | traduit du grec par Malamati Soufarapis
Souvent, à midi, quand repus dé solitude, les garçons brûlés, par le soleil dorment sur un oreiller de mer frangée d'écume, une ombre, la mienne je le crains, épie derrière les pots de géraniums votre passage à travers les vestibules obscurs.