Paru le 30/08/2010 | Relié 59 pages
Tout public
texte Françoise Cloarec
De l'image surgit l'inconscient à travers le miroitement en mille fragments de l'âme. Le reflet est extérieur mais aussi intime, dans un flottement presque inquiétant des limites.
Turbulence, déformation, la photographie ne restitue pas la réalité mais son empreinte et la lecture est imaginaire. L'objet n'est pas loin, mais il se tient caché. Il en est l'essence, par la forme qui s'offre au regard.
Françoise Cloarec
De toutes les eaux amoureuses des reflets, la plus ensorcelante est la mer qui se plaît à jouer des barques et des navires, comme des maisons et des arbres alignés sur les ports pour les contraindre à des formes inventées et des couleurs innovées...
Elle peint, peint avec ivresse.
Monique Pietri