traduit de l'italien par Jean-Claude Mangematin
Quatrième de
couverture
L'Italie en 1998. Une industrialisation galopante a rayé de la carte villes et villages pour leur substituer des mégapoles démesurées et inhumaines. Les gens s'y ennuient, voués à des travaux et des plaisirs mécaniques. Ils ont oublié le goût du pain, le parfum d'une fleur. Les suicides se multiplient. Au milieu de cet enfer, un jeune homme, Arno, décide de retourner dans son village natal.