Quel espoir de survie pour le social ? : du social à la solidarité

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 202 pages
Poids : 152 g
Dimensions : 11cm X 18cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-38255-073-1
EAN : 9782382550731

Quel espoir de survie pour le social ?

du social à la solidarité

de

chez Entremises éditions

Collection(s) : Carte blanche

Paru le | Broché 202 pages

Public motivé

14.95 Disponible - Expédié sous 10 jours ouvrés
Ajouter au panier

Quatrième de couverture

Quel espoir de survie pour le social ?

Du social à la solidarité

Jérôme Bonnemaison réalise son troisième essai, après avoir écrit de nombreuses critiques d'ouvrages. Il a originalement tenté de définir « une ligne de conduite » politique pour la petite enfance », les ouvrages se penchant auparavant sur les techniques d'accueil. Il a ensuite dessiné dans un essai les contours d'un nouveau modèle de démocraties, « la société délibérative ». Après avoir constaté que nombre de travailleurs du social, au sens large, ressentaient une profonde crise de sens, il se demande ici, sans ambages, si le travail social n'est pas promis à l'extinction ou l'absurde. Ou plutôt s'il est encore possible de l'exercer, comme activité utile et épanouissante. En s'appuyant en particulier sur la pensée de Karl Polanyi sur la société de marché, et sur une critique du néo taylorisme, il éclaire cette crise, en puisant exemples et témoignages dans tous domaines. Il propose un scenario de sortie de crise qui articule le travail social, repensé comme de nature politique, avec les politiques de parentalité, et un modèle nouveau de plein emploi, seul chemin pour redonner vitalité aux politiques sociales et enthousiasme à ceux qui les concrétisent.

Biographie

Jérôme Bonnemaison a une expérience très dense du secteur social. Après avoir travaillé sur le concept d'exclusion à Sciences po Bordeaux, il est sorti major de sa promotion d'inspecteur de l'action sanitaire et Sociale il y a une vingtaine d'années (Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique). Depuis lors il assumé la responsabilité pour l'Etat de différentes politiques sociales. Il a pu explorer - à travers des inspections, créations de structures, le financement et l'évaluation, la planification et la gestion - le social dans sa transversalité, avec un souci d'articulation avec d'autres politiques (comme la culture). Il en tire les leçons dans un essai proposant de s'appuyer sur la petite enfance comme moyen de relance du social. Il franchit ici une étape supplémentaire en proposant une vision globale sur l'avenir du social.