Regards

Quatrième de couverture

« Ça tient à peu de choses, le bonheur : un frôlement, une présence, un sourire. C'est pour ça qu'il est si fragile. Le bonheur avançait sans bruit, ingénu. Il retenait son souffle.
Regards
Regards de peur
Peur du regard
Regard moqueur
Regard sourire
Regard du coeur
Pour tout se dire
Regards
Ils s'étaient rencontrés par hasard, au détour d'un chemin. Quand leurs regards se croisèrent, ils surent qu'ils ne se quitteraient plus. Plus jamais. Il avait suivi ses pas. Elle suivait les siens. Pas besoin de mots. Un regard, ça parle fort. Un regard, ça raconte tellement de choses. Des choses de l'intérieur... »

Ces regards, Jacques Arné les porte sur notre société actuelle, un monde violent, impitoyable pour les faibles et les plus démunis.

Un monde désespérant, un livre sombre avec toutefois une pointe d'optimisme après que les gueux aidés par la Nature ont détruit la cité et le pouvoir des nantis : « Om retrousse ses manches en lambeaux. Il est temps de tout reconstruire. »

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