Remède contre l'hystérie numérique : pourquoi la "révolution digitale" n'est pas une révolution

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 211 pages
Poids : 268 g
Dimensions : 14cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-221-22168-6
EAN : 9782221221686

Remède contre l'hystérie numérique

pourquoi la "révolution digitale" n'est pas une révolution

de ,

chez R. Laffont

Paru le | Broché 211 pages

Tout public

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préface d'Augustin Landier


Quatrième de couverture

On dit quelle est partout de notre bureau à notre assiette... La révolution digitale va-t-elle nous asservir ? Est-elle l'avenir de l'homme ?

Notre époque hésite constamment entre une technophilie béate et la crainte d'une apocalypse numérique. Pourtant, si certains de nos usages évoluent indéniablement, les fondamentaux demeurent. Nous prenons moins le taxi au profit d'Uber. mais nous nous déplaçons toujours d'un point A à un point B ! Nous sommes abonnés à Spotify ou Deezer. mais nous ne consacrons pas plus de temps à écouter de la musique qu'auparavant. En réalité, affirment Jobic de Calan et Jérôme Cauchard. nous assistons plus à un déplacement de valeurs qu'à un accroissement global de celles-ci. Si notre monde se transforme, il le fait sans réelle rupture et sans réinvention ; le numérique est un géant médiatique mais un Petit Poucet économique.

Ce livre passionnant veut ramener, sans la dénigrer, la « révolution digitale » à sa juste place, nous aider à comprendre les enjeux que représente une technologie omniprésente et à décrypter une société qui privilégie souvent les discours au détriment des faits, et l'hystérie sur la raison et l'analyse.

Biographie

Jobic de Calan est consultant en stratégie de communication. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, de la Sorbonne et de la Columbia Business School. il a vécu dix ans à New York où il travaillait dans les médias et le digital.

Jérôme Cauchard dirige une entreprise de solutions digitales. Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris et de la Sorbonne, il a travaillé plus de quinze ans pour TF1. puis Google.