traduction collective de l'espagnol (Argentine) relue et complétée par Claude Esteban
Quatrième de
couverture
Qu'il s'attache à quelque spectacle du monde ou de soi, sous le signe quasiment toujours de la fuite, de la perte, de la dissolution des apparences, S. Yurkievich n'en retient que le rythme syncopé, le souffle court, la phrase qui se précipite et se rompt en paralexies déroutantes.