Rêves de savants : étonnantes inventions de l'entre-deux-guerres

Fiche technique

Format : Relié sous jaquette
Nb de pages : 159 pages
Poids : 937 g
Dimensions : 20cm X 26cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-200-25760-6
EAN : 9782200257606

Rêves de savants

étonnantes inventions de l'entre-deux-guerres

de

chez Armand Colin

Paru le | Relié sous jaquette 159 pages

Tout public

25.40 Indisponible

avec la collaboration du Centre national de la recherche scientifique


Quatrième de couverture

Les trésors inédits des archives de l'office national des inventions

Au lendemain de la Premirère Guerre mondiale, le souci de promouvoir l'innovation et de répondre à des besoins sociaux ou d'intérêt stratégique suscite la création de l'Office national des recherches scientifiques, industrielles et des inventions.

Installé sur les collines de Meudon, avec Paris pour perspective, l'Office réunit dans ses laboratoires des équipes d'inventeurs, de savants et de laborantins. Là, science, imagination et ingéniosité s'unissent pour donner naissance à toutes sortes d'inventions et de machines extraordinaires.

Certaines sont des ébauches ou des prototypes de nos objets actuels (la machine à laver, l'extincteur, le préfabriqué...), alors que d'autres témoignent des rêves de modernisation agricole (les essais d'électrification des légumes). D'autres encore obéissent à l'obsession de la supériorité militaire (le masque à gaz collectif), ou enfin sont prémonitoires (la voiture électrique).

Successeur de l'Office en 1939, le CNRS a hérité d'un trésor : un fonds exceptionnel et totalement inédit de photos sur plaques de verre, qui révèlent l'étrange beauté de ces temps révolus. Grâce à ces clichés uniques ici réunis, le lecteur découvre à travers les balbutiements de nos savants un univers scientifique méconnu.

Sous la plume de Denis Guthleben, histoire, attaché scientifique au Comité pour l'histoire du CNRS, l'humour est souvent au rendez-vous. L'émotion a aussi sa place, tant on voit comment, il y a moins d'un siècle, un monde tout différent du nôtre était soucieux de s'enrichir et de se moderniser.